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Deuil, divorce, séparation, rupture, abandon, Madeleine Chapsal analyse le mal le plus douloureux de notre société qu'on dit civilisée: la solitude.
Personne n'est à l'abri de la rencontre sauvage avec la " bête immonde " et nul n'est armé contre elle, car l'être humain n'est pas fait pour vivre seul. Ce sont les femmes, par nature avides d'amour et de communication, qui en sont les premières victimes! Un homme se " recase " presque toujours, alors que la plupart des femmes tombées dans une soudaine solitude finiront par grossir le troupeau des célibataires définitifs.
On peut mourir de solitude, écrit Madeleine Chapsal, et elle évoque le drame de femmes de tous âges qu'elle a connues, lesquelles, par suicide ou maladie, n'ont pas survécu au départ de leur compagnon.
Madeleine Chapsal est bien placée pour en parler. Vivant la solitude depuis son divorce, elle narre les épisodes de son propre combat, fait de chutes et de rechutes, avant de l'apprivoiser. Y est-elle parvenue? La solitude est toujours un pis-aller, écrit-elle, mais on peut s'apprendre à en tirer profit, à goûter ses privilèges, dont le premier est la liberté d'être soi-même.
Personne n'est à l'abri de la rencontre sauvage avec la " bête immonde " et nul n'est armé contre elle, car l'être humain n'est pas fait pour vivre seul. Ce sont les femmes, par nature avides d'amour et de communication, qui en sont les premières victimes! Un homme se " recase " presque toujours, alors que la plupart des femmes tombées dans une soudaine solitude finiront par grossir le troupeau des célibataires définitifs.
On peut mourir de solitude, écrit Madeleine Chapsal, et elle évoque le drame de femmes de tous âges qu'elle a connues, lesquelles, par suicide ou maladie, n'ont pas survécu au départ de leur compagnon.
Madeleine Chapsal est bien placée pour en parler. Vivant la solitude depuis son divorce, elle narre les épisodes de son propre combat, fait de chutes et de rechutes, avant de l'apprivoiser. Y est-elle parvenue? La solitude est toujours un pis-aller, écrit-elle, mais on peut s'apprendre à en tirer profit, à goûter ses privilèges, dont le premier est la liberté d'être soi-même.