Pour des raisons politiques, Usbek a quitté la Perse. Il entreprend alors un long voyage jusqu'à Paris. Sur le chemin, tout le surprend ; et c'est par lettres qu'il transmet à ses amis éloignés les faiblesses et les points fort d'un nouveau monde. On y voit là une peinture sans tabou, parfois satirique, du peuple d'occident. C'est un roman épistolaire, un essai de morale et un journal de voyage - mais c'est surtout une ouverture sur le monde.