Après les humides et douces journées automnales, s’annonçaient à présent les morsures de l'hiver. Pour monsieur Vassalecq revenait l'indispensable port de son pardessus. Pardessus aux manches parallèles, indépendantes, différentes l'une de l'autre.

Mais aussi heureusement autour de son cou, l'inévitable et chaud croisement de son cache-nez. Cache-nez avec lequel il emmitouflait le bas de son visage lorsque le froid devenait trop vif, ou que la qualité de l'air qu'il respirait ne convenait pas au bien-être de ses poumons. Ce mince rempart d'étoffe l'isolait, le faisait en partie se cacher, se replier sur lui-même. Rempart semblant le préserver des inconvenances qui l'entouraient. Du moins c'est ainsi qu'il l'utilisait ; comme une protection, indispensable à sa solitude dès l'approche des mauvais jours.