« Nous sommes mercredi et je suis mort ».
Ainsi s'ouvre ce roman fascinant, Un bon jour pour mourir, rédigé avec une franchise telle qu'elle peut seulement exister entre les meilleurs amis du monde.
Un bon jour pour mourir est un voyage au cœur de la République islamique d'Iran, où les fanatiques religieux obsédés par le Djihad et le martyre ont établi une société gouvernée par la charia, la loi islamique. Tout homme qui enfreint cette loi est considéré comme un ennemi d'Allah. La soif de liberté de Baber n'est pas seulement futile mais aussi dangereuse, parce qu'en Iran tout geste, même le plus privé, est interprété en termes politiques. Un bon jour pour mourir met en lumière l'idéologie du Djihad, la philosophie des attentats-suicides et les effets de l'oppression politique sur l'esprit humain. Le roman parle aussi de la sombre réalité d'une guerre dans laquelle plus de deux millions d'hommes ont perdu la vie.