Pour simplifier, j'inclus, dans ce générique, « fausses doctrines » : les fausses doctrines proprement dites, mais également tout ce qui est erreurs, incohérences, contradictions, confusions, inventions, extrapolations, anomalies, invraisemblances, scènes et personnages de fiction ; ... bref : tout ce qui est faux ou ne correspond pas (selon mon avis) à la Bible ; versets à l'appui.

Sur 652 chapitres, environ 100 sont en convergences avec les 4 Évangiles : soit 15% seulement, et donc 85 % sont inconnus dans l'Évangile. Par conséquent, Maria Valtorta selon ses paroles aurait vu et entendu 552 scènes qui ne sont pas dans les Évangiles.

Les 92% représentent de fausses paraboles, beaucoup de miracles extraordinaires dignes des anciens apocryphes rejetés par le Canon chrétien (que les évangélistes n'auraient pas relevés), de nombreux enseignements dignes d'un excellent philosophe, mais qui n'ont rien à voir avec le Grand Maître Pédagogue.

Par conséquent, l'ange Azarias (le conseiller intérieur), la Marie et le Jésus de Maria Valtorta (tous les trois fervents catholiques), et les 131 fausses doctrines bibliques détectées au long de l'étude des 10 volumes, me confirment, et prouvent que l'œuvre de Maria Valtorta est un super apocryphe du 20e siècle, siècle à la gloire de l'Église catholique pour prouver en tout premier lieu le dogme de l'Immaculée Conception, Reine des Cieux et Corédemptrice.

Il est le plus complet de tous les temps, et également un roman rédigé dans un grand style littéraire qui a retenu toute mon attention, tout mon intérêt, voire toute mon admiration particulièrement dans ses descriptions de paysages, de personnages, etc.