A travers Livana et son ami Domixoss, deux jeunes diplômés, l'auteur fait découvrir au lecteur les secteurs les plus « sacrifiés » de la République : la santé, la police, l'éducation, la justice et la Fonction publique. Le comble, c'est dans ce dernier secteur où Domixoss, voulant coûte que coûte intégrer la Fonction publique qu'il considère comme son salut, perd la somme de quatre cent mille francs CFA dans un marché où il est le ... corrupteur finalement ... escroqué. Fort heureusement, ce fléau, fait de « mouille barbe » et de « petit geste » érigé en mode de gouvernance, va directement vers une mort certaine ou du moins c'est la conviction de l'auteur qui ouvre une porte de secours avec l'entreprenariat pour les jeunes. Angobona Ali Esaie se dit persuadé de l'avènement d'un changement salutaire et il appelle la jeunesse adjabienne à être en première ligne. Donc, il garde espoir pour des lendemains meilleurs pour l'Afrique et les Africains.