Un matin inutileAu soleil beau de douleurD'une peine qui s'intituleTelle une fleur sans couleur Beau jour de lourdeurTendre rêve qui s'envoleEt qui ne perd pas son odeurComme une rose que l'on vole Ce ciel beau et bleuPour qui je fais couler des larmesQu'on ferait multiples BluesPour faire cesser les drames Ce ruisseau de pleursDans lequel je cache mes peinesPour écrire ma pensée de peurPar des vers verts de déveine S'en aller sans valiseSans elle... La vie ne peut plaireMême loin à BelizeCe cœur d'enfant ne peut se taire Passer un printemps sans rireRéaliser que tout est finiEt vivre comme un pince-sans-rirePour elle, vivre tout terniPays d'Amérique latine