Passionné de paléontologie, j'ai commencé il y a près de deux décennies à trouver de nombreuses failles dans la théorie de l'évolution. Les choses que j'étudiais et que je découvrais ne correspondaient pas aux affirmations des évolutionnistes, et je rencontrais de plus en plus d'incohérences, d'incongruités et même de mensonges purs et simples. Quelle était la raison de cela ? Pourquoi y aurait-il un intérêt à manipuler les archives paléontologiques ? Qui y gagne quelque chose ?
La paléontologie est la science qui étudie les fossiles, c'est-à-dire la vie préhistorique. Et même si c'était là le point de départ de mes recherches pour ce livre, j'ai également découvert un réseau de tromperies dans l'archéologie. Quel serait l'intérêt de nous mentir à nous-mêmes sur les preuves des processus historiques des peuples du passé ?
Mon esprit a été éclairé lorsque j'ai appris que la franc-maçonnerie et les institutions Rockefeller étaient derrière tout cela. À cette époque, je savais peu de choses sur la franc-maçonnerie et sur ce type de familles oligarchiques. J'ai découvert que la franc-maçonnerie luttait depuis environ 250 ans pour retirer le pouvoir à l'Église catholique et tentait de réécrire l'histoire de l'origine de l'homme. C'est précisément Érasme Darwin – l'oncle de Charles Darwin – qui, en tant que poids lourd de la loge Canongate Kilwinning d'Édimbourg (fondée en 1677), a fait pression pour le financement de l'évolutionnisme. Or, d'un autre côté, la célèbre version occidentale de la religion soutient que le monde est apparu en 6 jours et que l'homme et la femme sont sortis de la boue, qu'un dieu les a créés. Ironiquement, cette version des événements ne correspondait pas non plus aux documents, car elle ressemblait davantage à une métaphore représentative qu'à un fait littéral. Je me suis alors retrouvé confronté à deux incohérences, et la seule chose qui semblait réelle était la théorie de la panspermie dirigée, largement défendue par l'astronome royal Sir Fred Hoyle, mais proposée pour la première fois par le lauréat du prix Nobel de chimie Svante Arrhenius.
Création vs. Evolution expose la grande erreur de la théorie de l'évolution à travers le prisme des mathématiques, de la paléontologie, des lois de la physique, du principe de déterminisme, de la génétique, de la chimie, de la biologie et de l'archéologie. Il cite de grandes figures scientifiques et des citations de Charles Darwin lui-même qui réfutent le processus sporadique par lequel une créature deviendrait supérieure en raison du hasard ou d'influences environnementales. Cela prouve que les partisans du darwinisme et de l'évolution ont manipulé les couches, les os et les archives pour cacher la vérité et mentir sur l'origine de l'homme.