Un train à très grande vitesse de classe Rubis, opéré par la Sonorail, opérateur ferroviaire privé, a déraillé causant la mort de nombreux passagers, mais aussi de son conducteur. Le procès se conclura par la responsabilité du conducteur, donc d'une défaillance humaine. Les collègues et amis du conducteur du train de classe Rubis sont eux certains que leur collègue est innocent, que c'est autre chose qu'une erreur humaine qui est responsable du déraillement. Certain que jusque dans les plus hautes sphères de l'État il y a des corrompus, et ne réussissant pas à obtenir une révision du procès, ils prennent le contrôle à distance d'un autre train de classe Rubis qu'ils décident d'envoyer s'encastrer dans les murs de Paris-Gare-de-Lyon. Bémol, ils ont chargé l'avant du Rubis de plusieurs kilos d'Anthrax. Les plus hautes instances de l'État répondront-elles à leur doléance ?