Nous sommes en l'an 5123 de Gaïa 2. Maximus Oppignator est élu. Créature indéfinissable, mystère impénétrable, le fruit du cocon de Driesen pourrait ne pas être aussi enclin au pouvoir qu'on le prétend. Alors, que veut-il?

Qui est cet envahisseur qui, dès la fin de l'ère des monstres, menace d'exterminer le genre humain? Quel est le produit final issu du Projet Cathédrale, par lequel Maximus peut opposer à tout ennemi une réplique extratemporelle dont on pourrait espérer meilleur usage?

Quelle est cette sphère inconcevablement gigantesque que Samael et les Trente-Six construisent autour du système solaire? Pourquoi, dès la décomposition de Maximus, Samael en préserve-t-il une copie active tandis qu'il prépare un voyage dont on ignore le sens?

Que prépare Zadkielle? Quelle est cette ultime mission dont elle se dote et sur laquelle compte Samael?

Pendant que Samael tente de conclure pour de bon la « problématique humaine » afin d'avoir les coudées franches dans les Mondes angéliques et en finir avec La Pensée, son équipe secrète prépare sa dernière des guerres contre un dieu qui tente de rebondir depuis l'infini passé.

Conclusion de la seconde hexalogie, Maximus est aussi celle de nombreuses autres questions et pose les bases de la suite d'une saga qui prend un nouveau sens.